Pizzeria Il Posto – Paris (75020)

Mise à jour d’août 2023 : Je suis un peu embêté avec cette pizzeria que j’ai recommandée en 2015. Depuis, j’y suis allé à plusieurs reprises car 1) il n’y a pas grand chose dans ce quartier 2) cette pizzeria est toujours solide. Là où c’est plus aléatoire, c’est le service qui peut être bien et efficace comme parfois moins bien, c’est pour ça que depuis cette publication de 2015, je ne l’avais pas remis à jour. Après y être encore retournée en août 2023, je me suis dit qu’il fallait remettre un coup de frais à l’article.

La carte avait changé depuis ma dernière visite, j’avais plus de mal à retrouver des pizzas qui me disaient, mais finalement on a fait un chouette choix.

Diavoletto à 15€ et Maria Elena à 14€ et un vin des Pouilles Diverso à 28€.

Diavoletto

Maria Elena

On a demandé à ce qu’ils nous les coupent en deux – le serveur a même coupé des parts – , si bien qu’on a pu avoir deux types de garnitures chacun.

On a pris un vin des Pouilles à 28€ qui tenait bien la route.

Tout le reste de l’article date de 2015 :

Un bon plan côté 20ème dans le registre pizzeria napolitaine.

Un pote spécialiste “pizzas” me parle de cette pizzeria napolitaine, j’aime “Naples” alors allons-y.

Quand on arrive, je crains le faux bon plan “Fooding” : file d’attente, cliente qui a un problème pour récupérer sa commande de pizzas à emporter… Au final, on est rapidement placés. Bonne surprise : on n’est pas collés les uns aux autres et ce n’est pas trop bruyant.

Le service n’est pas dingue car un peu impersonnel et concentré sur la gestion d’une salle pleine – à leur décharge, ils doivent sans doute se rôder et celui qui est leur responsable a zappé nos 2èmes verres de vin – mais pas grand chose à lui reprocher non plus.

La carte arrive : pas mal de pizzas qui volent à 16, 17 euros mais j’arrive à trouver cette zap’ à 11, 1er prix. La garniture est honorable mais le vrai point fort de la pâte et là, oh mon dieu: elle est divine, comme dans un rêve, c’est ce que j’ai préfèré manger.

La personne qui m’accompagnait était bien contente de sa Diavoletto (tomates, mozzarella, spinata : saucisson piquant  de Calabre)

J’en fais un plan à retenir car il n’y a pas beaucoup de pizzas qui tuent dans ce coin-là, en plus elle est située à la sortie du métro Pyrénées, ce qui ne gâche rien. Par ailleurs, bien qu’il manque encore un supplément d’âme dans le service, au moins ici ça ne se la pète pas et c’est plutôt carré, à la différence d’O’scia qui est sans doute une référence de la pizza napolitaine au feu de bois à Paris mais que je n’ai jamais chroniquée suite à une visite catastrophique.