Auckland (Nouvelle Zélande)
17.01.16 - Guillaume - 716lavie
Quand on est à Wellington, on entend la plupart des gens critiquer Auckland : c’est une grande ville, une mégalopole (1,2 MOI d’hab contre 300 000), oui il fait plus chaud et plus beau mais ça ressemble à n’importe quelle autre grande ville, le dépaysement n’est pas là.
JOUR 1
Moi qui suis habitué aux grandes villes, je suis arrivé à Auckland avec un peu d’appréhension. Puis j’ai vite pris mes marques. Je suis d’abord allé à Verone, un bar plutôt cool près de mon hôtel. Il y avait un dj et la musique était bonne, ça, ça compte.
Ensuite les cocktails étaient pas mal et le staff sympa. Prix pas exhorbitants.
C’était à côté de mon hôtel, le Kiwi Centre : un genre de grosse auberge moderne en plein centre dans lequel j’avais 50% grâce à mon pass Médias, si on paye le prix fort, la prestation passe juste. Auckland est une ville chère, notamment pour les loyers, exorbitants.
JOUR 2
J’ai pris le hop on hop off tour bus : 45 dollars quand même, cher, pas mal pour comprendre la configuration de la ville.
Ne ratez pas le stop au mémorial de la guerre qui vaut le coup, aussi bien pour la signification du lieu que pour son emplacement et sa vue : situé en haut d’une colline, il permet d’embrasser la baie : stunning !
Ensuite je vous donne une petite ruse que m’ont donnée deux ados locales qui squattaient sur les pelouses : quand on fait face à la mer et qu’on souhaite aller à la plage justement : au lieu de prendre la route qu’a empruntée le bus, longue, car elle par à gauche pour revenir sur la droite ensuite et chiante, car elle est goudronnée et pour les voitures, mieux vaut prendre sur la droite un petit sentier qui part à travers les buissons. C’est assez rock’n’roll par endroits mais ça vaut le détour.
Vous voilà directement au bord de l’eau (enfin faut traverser la route en bas) après avoir eu l’impression d’être en pleine campagne : c’est aussi ça le paradoxe d’Auckland, une grande ville certes mais qui a gardé des zones de pleine nature au sein de son agglomération.
Le café couru de Mission Bay, la plage, c’est le Mission Bay tout simplement : bardé de stickers sur porte, il est la référence, pour des prix pas donnés.
Si j’avais eu le choix, je serais allé là, même si ça faisait spot branché à touristes, car ça avait l’air vraiment bon ; j’étais sur le café qui est à droite quand on leur fait face, moins cher et pas trop mal, : ils font des scones maisons, mais pas dingue.
Quand on reprend le hop on hop off bus, on passe près d’un jardin de roses sur la gauche, sur la droite à la même hauteur, il y a un café sous le centre « Parnell Medical » qui est plein à craquer, intérieur et extérieur. J’aurais eu plus de temps, je serais allé jeter un oeil, la zone est assez chic et la clientèle fait plutôt wealthy busy people mais à voir.
Le midi j’ai mangé dans un café français, qui n’emploie que des français en salle : assez cher mais le bon plan c’était l’assiette charcuteries / fromages pour 17 dollars, elle vaut le coup pour 2.
C’est l’heure d’aller au Auckland War Memorial Museum.
Evidemment on connaît peu en France l’histoire du Anzac Day et au-delà, ce qu’ont vécu ces militaires néo-zélandais subitement envoyés au front dans des pays, et des continents, qu’ils ne connaissaient pas et pour combattre dans des guerres qui, si ce n’était la lointaine appartenance de la Nouvelle Zélande au Royaume d’Angleterre, ne les concernaient pas le début d’un chouia.
En plus j’y étais deux jours avant le Anzac day et la visite n’en était que plus marquante. Après, je ne suis fan de musées, encore moins militaires et donc je ne prévoierais pas d’y passer une demi-journée. Si vous n’avez pas été à Wellington, au musée Te Papa ou à celui de la Navigation Maritime, alors les salles consacrées à la culture et à la faune et flore kiwis sont intéressantes.
Le soir je reviens sur Queen Street afin de me faire un chinois. Je croise un étudiant chinois et lui demande quels sont ses restos préférés : Shaolin Kung Fu Noodles et ce nouveau resto qu’il n’a pas encore essayé mais qui est en permanence plein à craquer : Yummy Dumpling Housen sur la devanture mais « Dao Lao Cheng Du Chuan Cai Guan ». Il est d’ailleurs complet quand j’y vais et je crois comprendre qu’on ne cherche pas spécialement à m’accueillir. J’ai beau expliquer que je suis food blogger, que j’ai beaucoup défendu les restos chinois à Paris, rien n’y fait. Bizarre.
Je me rabats sur Shaolin où il n’y a pas grand monde. J’ai envie d’un truc qui tue et je ne sais pas choisir dans la carte riche, alors je dis que je suis blogger et je demande au serveur son plat préféré : soupe de nouilles à l’agneau, rare à Paris. Les chinois proposent souvent l’agneau au cumin mais la soupe à l’agneau, pas encore vu.
C’est une tuerie cette soupe : les pâtes sont bien cuites, l’agneau a du goût. Bon j’avais demandé des légumes, il n’y a qu’une pauvre feuille de je sais plus quoi en guise de verdure mais ce n’est pas grave.
Le serveur a sa copine qui étudie le français alors il me demande quelques mots qu’il pourrait lui dire pour l’impressionner.
En allant aux toilettes, je passe devant la cuisine dans laquelle un monsieur avec encore son coupe vent et une dame sont assis sur cagettes en bois et nettoient des tripes dans une grande bassine en plastique. J’adorerais faire une photo tant c’est typique et tant certains s’enfuiraient en hurlant à la vue de ceci, mais c’est pas évident. Je ne veux pas non plus leur faire de tort. Je demande alors officiellement au serveur si je peux faire une photo des cuisines car dans la partie visible de la salle, on ne voit pas le duo de laveurs de tripes. Mais l’autorisation est refusée.
Question bouffe : Shalin Kung Fu pas de ta gueule.
JOUR 3
Je passe une tête au Yummy Dumpling House pour réserver. Là, je vois le cahier de résa vide alors que la veille, le patron m’avait dit qu’il était complet pour la semaine. Je n’ai jamais donné dans la théorie complotiste mais il apparaît clair qu’il ne veut pas de non chinois : je n’en ai jamais vu un dans la salle.
Je vais bruncher dans un café qu’on m’a recommandé au bas de Queen Street, en face du port : le White Rabbit.
Ce qui est cool c’est qu’il y a une terrasse et qu’on y entend la musique, plutôt bonne, du café.
Je demande conseil à la serveuse : sweetcorn fritters, smoked bacon slam, smashed avocado, sour cream. C’est hyper bon, pas gras, léger, les goûts son variés.
Avec ça, un jus de pomme/concombres, parfait et un Flat White, et là on est repartis !
Direction le port à qq centaines de mètres pour attraper un ferry qui vous emmène de l’autre côté de la baie à Davenport. Il y en a chaque demi-heure et ça coûte 40 dollars la demi-journée.
Quand vous arrivez à Davenport et que vous remontez la seule rue centrale, sur la droite assez vite il y a un loueur de scooter, je vous le conseille !
Ca coûte 40 dollars la demi-journée plus 19 ou 11 dollars d’assurance selon que vous voulez être indemnisés à hauteur de 750 ou 250 dollars.
Quitte à aller sur colline pour admirer toute la a d’Auckland, mieux vaut aller à Redhead que sur Mount Charlotte : le second est le plus touristique et pas le plus intéressant. En allant un peu plus loin le long de la côte, on tombe sur Redhead qui est de plus une ancienne base militaire souterraine. Il y avait un système de « canons invisibles » : les canons tiraient sur les forces aériennes puis rentraient aussitôt se cacher dans les abris qui leur étaient destinés, le tout via un ingénieux système de rails.
Le bureau de poste Arts Décos de la ville est splendide.
Il y a plein de cafés le long de la rue principale. J’ai été au Corelli’s, très correct et le staff était plutôt sympa. Si on veut squatter longtemps avec la wifi, il faut redemander un ticket avec mot de pass dès que le crédit s’épuise.
Le soir je vais faire un tour au grand magasin de disques, l’équivalent d’un petit amoeba kiwi : Music Sounds.
Le soir je me retrouve dans l’autre centre ville d’Auckland, il y en a deux, séparés par une voie rapide.
Là c’est très commercial, il y a de bons spots alentour, mais en ce samedi soir 22h c’est chaud de trouver un endroit pour manger qui donne envie.
Finalement je repère une porte qui indique un chinois à l’étage et un panneau précise qu’ils ont de la Tsing Tao. De nombreux asiatiques n’ont pas la licence d’alcool et il faut donc apporter sa bouteille ou boire de l’eau. Moi la cuisine chinoise sans bière j’ai du mal, ça va trop bien avec.
Je rentre et je me retrouve dans une déco à la Blade Runner, le gros resto à la déco chic, mais il n’y a que deux tables d’occupées. Pas exactement le genre de posts qui me fait sauter en l’air, mais on y est, on y reste, surtout qu’à cette heure-ci il n’y a plus 36 solutions.
Je discute avec la patronne, une dame chinoise élégante et sexy. Leur spécialité ce sont les raviolis.
Je prends des classiques (bœuf ? porc ? je ne me souviens plus), très bon, rien à dire.
Ensuite la patronne me conseille une spécialité, les raviolis ont été recouvert d’un genre de croûte. C’est très bon aussi.
Bon plan ce chinois sur cette avenue commerciale ; comme si un bon spot se cachait sur les Grands Boulevards.
Je vais ensuite dans une fête dans un loft, ça mixe, bonne ambiance. Je note que les gens, natifs d’ici ou pas, ont tous l’air globalement heureux de vivre ici mais qu’il se sentent confinés et veulent tous bouger « overseas » J
JOUR 4
Je vais dans un vrai « café » car Auckland est réputée pour cela. Direction le « Good Company », un exemple du genre : loft dans une rue cachée, déco brut, machines à café plus impressionnantes les unes que les autres, les clients, assis sur des bancs face à de grandes tables en bois, boivent, papotent ou bossent sur leur ordi, seuls ou à deux.
Le serveur est sympa, il me conseille bien. J’ai remarqué que dans ces cafés de puristes, on me conseille toujours un café du Nicaragua, dans quelque ville que ce soit.
Allez hop, le Nicaragua « La Tormenta ».
Je prends un scone maison servi chaud avec du beurre organique sur la côté, c’est bon !
Ensuite je squatte comme un chacal avec mon Iphone, bien posé, j’ai trouvé prise dispo.
Rendez-vous dans le centre vers Queen Street. Là, en me promenant, je remarque l’équipe entière d’un restaurant malaysien qui mange dehors. Je leur demande si le resto est ouvert, cette équipe qui paraît soudée et mange avec appétit la bouffe du resto m’inspire confiance. Une jeune fille me répond qu’ils sont en pause déjeuner et que je dois revenir à 17h. Ok. Je pars me balader et je reviens à 16h50.
QQ minutes encore à attendre, le temps que la mise en place s’achève et hop, me voilà à l’intérieur.
Ils ont reçu plusieurs prix pour la propreté, l’authenticité de l’établissement, ont les louanges de yelp, etc… je suis assez content car aucun local ne m’en avait parlé.
Le serveur est très sympa et de bon conseil, j’ai mangé une Seafood Laksa d’anthologie.
5 minutes après que je me sois installé, les clients ont commencé à affluer, malaysiens comme non malaysiens. Quand je suis parti, le resto était plein à craquer, terrasse comprise.
J’étais ravi de ma découverte.
Je suis passé à Music Sounds et j’ai demandé à deux vendeurs spécialistes de me recommander des artistes ou des groupes néo-zélandais.
C’est ma dernière soirée à Auckland, il est l’heure de partir!
Cordis Hôtel
83 Symonds Street
Cordis, plan de fou. La piscine est au 8ème étage au milieu des buildings. Je cherchais un hôtel dans ce quartier car il y a huit ans j’avais été dans une auberge de jeunesse ici et c’était très pratique pour aller à l’aéroport car dans la direction du bus qui passe juste là. J’ai galéré trois semaines à chercher où dormir cette année : soit dans mon ancienne auberge, soit une autre à côté, mais tout était un peu pourri. Et puis lors d’une insomnie, j’ai élargi le spectre de recherche de quelques rues et je suis tombé sur ce Cordis qui est une balle. Hors saison comme maintenant, tu touches la chambre Deluxe avec King Bed à 120 € la nuit, la piscine chauffée en mode rooftop avec sauna et hammam est en libre accès.
T’es très très bien, t’es juste à côté de Peci (voir la partie Restaurants), référencé sur Raisin, une institution d’Auckland pour les pâtes et le vin nature.
Kiwi International Hôtel
411 Queen St
+64 9379 6487
le site
C’est là que je résidais, mais je payais 50% du prix, donc à vous de voir si vous considérez 80 dollars la nuit pour une double comme correct. C’est une sorte de grosse auberge mais les chambres sont plus celles d’un petit hôtel. L’établissement est très pratique car en plein centre et peu bruyant. Par ailleurs il y a du thé et café à disposition dans la chambre, avec une bouilloire. Ca m’a remplacé plusieurs petits-déjs.
– Hop On / Hop Off Bus
Ce n’est pas donné, 45 dollars et je comprendrais qu’on ne veuille pas les mettre pour cela. Le gros avantage c’est que ça vous permet d’embrasser la ville d’un coup, ce qui est pratique car sa configuration est complexe à appréhender. Le bus vous emmène dans les principaux coins du centre, passe devant le port, puis pousse jusqu’à la plage de Mission Bay et le mémorial militaire.
Pici
Shop 22, St Kevin’s Arcade
@pici.krd a ouvert en 2020 à Auckland. 3 patrons : 2 chefs, 1 expert en marketing. Je l’ai trouvé via Raisin @naturalwineapp grand bien leur fasse. C’est d’ailleurs drôle : il y avait une serveuse écossaise et une autre qui avait habité en Écosse et avait fait un tour d’Europe de deux mois avec son mari en explorant les restos vin nature grâce à l’application Raisin @naturalwineapp.
Le credo de Pici : « on n’est pas un resto italien, on est un resto qui fait des pasta et du vin nature. » C’est réussi, c’est bien plus proche de la cuisine italienne que certains restos parisiens qui veulent faire italien en trichant. Par exemple ici, les fettucine alla vongole avec les moules fraîches en direct de l’île du sud (j’ai demandé) sont passées par une préparation à base d’anchois – ail – piments, original mais fidèle dans l’esprit.
Les cacio e pepe, plat signature de la maison, sont riches en poivre noir, on y est, malin aussi l’idée d’utiliser des pâtes fraîches larges, des pici justement, qui boivent la sauce.
Sorbet orange délicieux servi, avec un vin orange Blood Playfight @broodfermentation de Nelson dans l’île du sud. Ça me rappelait les glaces orange givrée et citron givré que je mangeais à la crêperie quand j’étais petit et que j’ai retrouvé ensuite dans les restos chinois, sauf qu’ici c’est du vrai. Cheesecake, bien salé, servi avec de l’huile d’olive.
Je pourrais rentrer encore plus dans les détails, la sélection de vins alterne, vins kiwi et européens.
Le seul vrai point noir, c’est la musique ultra forte jamais je n’avais vu un resto avec de la musique aussi forte. Cela étant ils ont accepté de baisser et ensuite ça allait nickel surtout lorsqu’on était au premier étage étage derrière les enceintes et non pas en dessous.
Une option merveilleuse à Auckland qui marche le lundi soir, jour de grosse fermeture en Nouvelle-Zélande. Le Resto a à peine quatre ans et ils en ont déjà ouvert deux autres : le bar à vin nature Tappo @tappo.krd à côté et la pizzeria Ooh-Fa @oohfa__ dans un tout autre quartier à 3 kms.
Culprit.
Level 1/12 Wyndham Street
le site
OOH-FA
357 Dominion Road, Mount Eden
le site
Shaolin Kung Fu Noodle
486 Queen St
Auckland 1041
Tél :+64 9-365 2888
Un des bons restos chinois de Queen street, le serveur m’a recommandé une soupe à l’agneau que j’ai trouvée bien bonne! Ils ne servent pas d’alcool en revanche, comme beaucoup de chinois ici qui n’ont pas la license, mais vous pouvez apporter le vôtre.
XiaoDan Restaurant & Bar
161 Ponsonby Rd, Ponsonby, Auckland 1011, Nouvelle-Zélande
Téléphone :+64 9-378 9908
Celui-là est du côté de Ponsonby, l’autre partie du centre ville d’Auckland. Dans ce coin, il n’y a pas grand chose pour manger la nuit, c’est la zone des bars pas super distingués. J’étais content de trouver ce resto qui a juste une petite porte d’entrée sur la rue, ensuite on monte un escalier. Une fois là-haut, c’est assez chic, mais les prix sont supportables. Et pour le coup le chef sort des spécialités, comme des steamed prawns with garlic ou ce fried duck with lettuce. J’ai pris des ravioli et un truc bizarre à gauche, la galette retournée de raviolis. En fait ce n’est pas une galette, c’est juste une “croûte” renversée, bref essayez, c’est marrant.
BANLIEUE
Suwan Thai
70G Grand Dr, Orewa
0931 Auckland
+64 9-427 6580
Ouvert de midi à 22h du mardi au samedi Un restaurant thaïlandais réputé de la banlieue d’Auckland que j’ai trouvé grâce à Google pour le coup.
Les restaurants que je n’ai pas essayés mais qui m’ont été conseillés par des locaux :
Yummy Dumpling House (Dao Lao Cheng Du Chuan Cai Guan)
458 Queen Street
Auckland CBD
09 3773458
LE resto chinois de Queen Street complet en permanence, en quasi-totalité par des clients chinois. C’était la sensation de 2015 semble-t-il. J’ai eu beaucoup de mal à y aller et les ai soupçonnés de ne pas favoriser la venue de clients non chinois donc déçu par ce point, peut-être aurez-vous plus de chances.
The White Rabbit
e 1010, 69 Customs St E,
Auckland, 1010, Nouvelle-Zélande
le site
Un café sympa, situé près du port. La cuisine est réussie, pas grasse. Je conseille de le coupler avec une sortie à Southport, de l’autre côté de la baie.
Lire l’article sur The White Rabbit
Les cafés qui m’ont été recommandés mais que je n’ai pas pu essayer :
Mission Bay
85 Tamaki Dr,Mission Bay
Auckland
+64 9-528 0017
le site
LE café à la mode de la plage de Mission Bay.
Tappo
Shop 23/183 Karangahape Road, Grafton
Bar à vins nature qui a l’air sympa.
Bare Wine NZ
3C/49 Brown Street, Ponsonby
Bar à vins – caviste
Little Culprit
Corner of Wyndham &, 151 Queen Street
le site
Verona
169 Karangahape Road
Auckland
+64 9-307 0508
le site
Un bar plutôt pas mal où j’ai débarqué le 1er soir, car à côté du Kiwi Hotel où j’étais. Il y avait un dj qui passait du bon son et l’équipe plutôt débonnarde, même si un peu longue à la détente au début.
Real Groovy
438 Queen Street, Auckland 1010
(64 9) 302-3940. 0800
le site
Un AMOEBA néo-zélandais.
Voilà des artistes qui m’ont été recommandés par des vendeurs de Real Groovy auxquels j’avais demandé une sélection d’artistes nationaux :
Sola Rosa
Frank Booker
Nathan Haines
http://nathanhaines.com/
Bare Wine NZ
3C/49 Brown Street, Ponsonby
Caviste – Bar à vins
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