Innsbruck (Autriche)
25.08.23 - Guillaume - 716lavie
Y venir
Avion
Pas de vols directs depuis la France, il faut changer à Vienne avec Austrian Airlines sinon une escale à Amsterdam est possible via un combo Air France / KLM jusqu’à Amsterdam puis Transavia jusqu’à Innsbruck (plus avantageux qu’Austrian question prix mais l’escale peut être plus longue à Amsterdam).
Train
Pour le 2ème séjour en 2023, je suis venu en train de nuit depuis Utrecht grâce aux Nightjet de la compagnie autrichienne OBB et même en train de jour ça se fait en 8h : Paris – Stutgartt -Munich, on trouve des billets à moins de 100€! Pensez-y, c’est un moyen super cool de venir ici, écolo, économique aussi et puis ça vous permet de rapporter autant de bouffe et de liquide que vous voulez.
Voiture
Sinon privilégiez l’option vol jusqu’à Munich ou Venise puis voiture de location. L’été il vaut mieux atterrir à Venise car le flot de touristes est plutôt celui des allemands qui vont vers le sud, si bien que vous pouvez galérer dans les bouchons sur la route Munich-Innsbruck.
Sur place
Innsbruck card
le site
Elle inclut cable car et transports pour 53 euros les 24 heures ou 63 euros les 48h, ainsi que les entrées aux musées et réductions, alors que c’est environ 30 euros pour un simple aller retour cable car, c’est donc un très bon plan de prendre juste une 48h et de faire un jour le Nordkette cable car et un ou deux musées et un autre jour le Patscherkofel Cable Car au sud. Il y a aussi un ski bus gratuit l’hiver.
La plupart des français que je rencontre, lorsqu’ils ont été en Autriche, ont été à Vienne ou à Salzbourg, pas beaucoup qui me parlent d’Innsbruck. Alors oui, on connaît la ville pour les Jeux Olympiques, on l’associe à une station alpine, mais what else? Innsbruck est une ville de 120 000 habitants – dont 30000 étudiants -, dans une longue cuvette au pied des montagnes de 9 kms sur 5.
J’ai eu un coup de coeur car j’ai mesuré à quel point le slogan : “the only urban alpine lifestyle” est approprié. Innsbruck en 5 points c’est quoi?
1) Une ville située dans un cadre magnifique. Innsbruck : “le pont au-dessus de la rivière” en dialecte régional,”Inn” = le nom de la rivière, “bruck” =pont. La capitale du Tyrol est située dans une cuvette au pied des Alpes, traversée par l’Inn, sauf qu’à la différence de Grenoble on est en 20 minutes à 2000m au sommet du Nordketten, certains y vont juste boire un verre. On va skier puis faire du shopping.Il y a 9 stations de ski autour de la ville.On se lève le samedi en pensant aller faire du vélo de montagne, il ne fait pas beau, on fait donc son ménage, à midi ça se lève hop on file dans les hauteurs. Donc la ville est là, mais on s’en échappe comme d’un rien. En 10 minutes de voiture vous êtes dans des villages de charme, retour en ville et vous voilà prêts à chercher des vinyles rapportés du Soudan chez le disquaire Nabu ou à jeter un oeil aux modèles Gaultier exposés à la galerie Swarowzky.
Vue du ciel en arrivant.
2) La ville en elle-même est belle. Officiellement créée en 1180, quand un accord fut passé avec les moines C’est Dürer qui a réalisé la 1ere peinture d’Innsbruck au 15ème. La ville a su protéger son architecture gothique et rester une ville agréable avec de l’espace, de nombreux commerces, des musées, une belle offre gastronomique. Dans “urban alpine lifestyle” il y a urban, Innsbruck n’est pas qu’une station de ski sans culture. Ici l’eau qui coule des fontaines est de l’eau minérale de la montagne, il est interdit d’y ajouter des traitements chimiques.
3) Les habitants sont sportifs, à Innsbruck on se bouge, on court, on skie, on pédale, on marche. Cette atmosphère sportive est stimulante.
4) La nature est splendide. Aussi bien la Nordketten accessible en cable car que les villages environnants dont je vous parle dans un autre article, toute cette partie du Tyrol est à couper le souffle, majestueuse, pure, pas dénaturée par le tourisme de masse.
5) L’offre touristique est bien conçue. La Innsbruck card permet d’accéder à tous les moyens de transports, y compris cable car, mais également d’entrer dans les musées. Par ailleurs des randonnées avec des guides sont gratuitement organisées quotidiennement, il suffit de s’inscrire. Beaucoup parlent anglais. Pour autant Innsbruck n’est pas envahie par un flot de touristes qui inonderait le centre ville, si bien que même en haute saison, la ville reste appréciable.
Sinon, l’industrie de la ville c’est notamment MED-EL soit Medical Electronics, une société d’appareils auditifs lancée par un couple et devenue la référence mondiale et des usines de ski.
Voici la carte de mes bons plans
L’aéroport exige un savoir-faire particulier de la part des pilotes, ils doivent être diplômés spécialement pour ici car il est au milieu des montagnes et sujet à de forts vents thermiques. S’il y a un problème sur l’avion, cela peut s’avérer problématique car n’importe quel pilote ne peut pas venir se poser ici.
Andreas Hofer est le héros national du Tyrol qui a soulevé les fermiers contre Napoléon. L’armée napoléonienne est tombée sur un os avec ces fermiers du Tyrol, croyants, déterminés et unis. Il faudra deux défaites des bavarois et une du maréchal napoléonien Lefebvre, après 12h de bataille, pour parvenir à les vaincre. On peut admirer une peinture panoramique de la bataille au Tyrol Panorama, le musée situé à côté du tremplin de saut à ski de Bergisel.
Hôtel Mondschein
Mariahilfstraße 6
Rapport qualité-prix imbattable en centre ville, en revanche demandez bien une chambre face à la vieille ville, avec vue donc et en hauteur, minimum 3ème étage, plutôt 4ème car il y a les voitures qui passent en dessous. Une fois ça réglé, c’est top de top, surtout pour une ville comme Innsbruck : excellent prix en vous y prenant au bon moment (150 euros la double avec petit-déjeuner), personnel super sympa (ils nous ont gardé tous nos fromages et autres sans aucun souci dans leur frigo pendant la durée du séjour) et très bon petit déjeuner dans la vielle salle de ce bâtiment historique. Vraiment un plan en or.
Ceci est la vue de la chambre par exemple.
Penz Hotel
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C’est l’hôtel “executive” de la ville, extrêmement bien situé (il y a 2 Penz, un à l’aéroport et celui-ci au centre). Sa salle de restaurant est connue pour sa vue ainsi que pour son bar très prisé en fin d’après midi. J’ai trouvé que le service aurait pu être plus personnel et réactif pour un tel standing. Néanmoins sa position est idéale et les chambres d’un grand confort. Ci-dessous la vue depuis le restaurant.
Des guides officiels locaux se sont associés pour guider à 4 tout en jouant la comédie en costumes.
Pour bénéficier de ces tours organisés par l’école de haute montagne d’Innsbruck, une des meilleures du monde avec celle de Chamonix, il suffit de séjourner à Innsbruck et de présenter le justificatif de l’hôtel.
La ville est jumelée à la Nouvelle Orléans ce qui explique le festival annuel New Orleans Festival au mois de juillet
A Innsbruck :
Le centre ville offre de superbes perspectives
L’artère piétonne principale Archenweg
Le pont Innbrücke
Vue depuis la passerelle Émile Béthouart, Emile – Béthouart – Steg, à l’est de la ville
Vue depuis le pont de l’Université, Universitätsbrücke à l’ouest de la ville
Le soir ça squatte de fou ici sur les quais.
Nordketten
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C’est la chaîne de montagnes qui domine la ville au nord, elle fait partie du parc Karwendel. De n’importe quel point du centre ville on l’admire autant qu’elle nous attire. On peut accéder directement à son sommet à 2000m en 20 min., ainsi qu’à plusieurs étapes intermédiaires, via le cable car.
De là-haut, la vue sur la vallée est à couper le souffle.
Patscherkofel Cable Car Lower/Valley Station
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Si vous avez le temps, ne manquez pas non plus la vue de fou qu’on a depuis les montagnes au sud de la ville, cela prend plus de temps d’y aller, mais c’est dingue aussi et plus calme.
Cette église gothique fut achevée en 1553, Ferdinand 1er avait ordonné sa construction afin d’en faire un mémorial dédié à son grand-père, l’empereur Maximilien 1er. Mais le tombeau de ce dernier est finalement resté au château de Wiener Neustadt, si bien qu’Hoftkirche fait office de cénotaphe (mémorial sans le corps, à la différence d’un mausolée). L’église abrite également le tombeau de Andreas Hofer, héros national du Tyrol, des sculptures de la renaissance allemande et une impressionnante collection d’armures.
Le Kunst museum est juste à côté
Vogelweide dans le Walther Park : le Walther parc est un petit parc dédié à Walther von der Vogelweide, le poète lyrique allemand le plus célèbre du Moyen Âge. Vogelweide est un projet créatif basé au sein du parc, communautaire et non lucratif, qui vise à favoriser les échanges sociaux et culturels transgénérationnels. Aux beaux jours, ils organisent des concerts et des pièces de théâtre. On paye ce qu’on estime juste au bar afin de soutenir l’initiative.
Das Goldene Dachl : “le petit toit d’or” est cette façade de style gothique flamboyant commandée par l’empereur Maximilien 1er et devenue depuis le symbole de la ville. L’empereur aimait contempler l’animation de la ville depuis son balcon d’apparat. Le toit est composé de 2657 bardeaux de cuivre dorés à l’or fin, tous d’origine. L’adage écrit sur le bandeau en relief dit : « Profite de chaque instant de ta vie, ne laisse passer aucune danse, tu n’emporteras rien avec toi ».
Hofgarten parc : ce parc du 15ème siècle comporte aussi bien des jardins de style Renaissance ou baroque qu’un jardin à l’anglaise plus récent (150 ans). Il est très prisé l’été. Il y a aussi au sein du jardin un petit pavillon, le Tiroler Künstler:innenschaft – Kunstpavillon, qui sert de lieu d’expos d’art contemporain,.
Wiltener Platzl : ce quartier autrefois situé à l’extérieur de la ville et donc peu couru, est désormais un lieu cool de la ville. On y trouve entre autre le café Immerland, le skate shop X Double ainsi que le disquaire vinyls Downtown sound. Ci-dessous la porte de la ville qu’on traverse pour rejoindre la Wiltener Platzl.
Zeughaus museum : des séances de cinéma en plein air sont organisées l’été par le cinéma alternatif Leokino dans la cour de ce musée de l’artillerie.
The soap room : galerie d’art située au-dessus du magasin de savons Walde (voir le paragraphe Magasins)
Spielraum Kochlokal : littéralement “la salle de jeux / cuisine locale” est un local qui permet de venir cuisiner à plusieurs, organise des concerts et des ateliers. Il est sans doute plus destiné aux locaux sachant qu’il faut être membre, mais vu le bon esprit du lieu, il y a sûrement moyen de participer en étant de passage.
Fablab : cet atelier d’architectes est situé juste au-dessus du Spielraum Kochlokal.
Tirol Panorama : c’est le musée dédié au héros du Tyrol Andreas Hofer ainsi qu’à la culture régionale. On y trouve la célèbre et impressionnante peinture à l’huile à 360° de la bataille d’indépendance du 13 août 1809 menée par les fermiers tyroliens emmenés par Hofer contre l’armée napoléonienne.
Le tremplin de saut à ski de Bergisel
Entrée : 9,50 euros
Il faut y aller pour voir le superbe travail réalisé par l’architecte iraquienne Zara Hadid. Elle a associé à la rampe de lancement une tour surmontée d’un bar-restaurant afin de faire aussi de ce lieu de compétition olympique un lieu de vie. C’est très réussi, d’ailleurs on vient notamment ici pour le petit-déjeuner et les brunchs dominicaux m’ont été recommandés. Avec un peu de chance vous verrez sauter les jeunes skieurs (comme ici) de l’école alpine Stamz considérée comme une des deux meilleures au monde avec celle de Chamonix.
En dehors d’Innsbruck :
Goetheweg : un chemin de randonnée qui va d’Hafelekar sur la Nordketten jusqu’au Mandlspitze puis retour à Innsbruck via Arztler Scharte et Artzler Alm (5hrs de marche et des chaussures de montagne)
Vomper Loch: une gorge avec une eau cristalline transparente et des coins pour plonger da la falaise
Ötztal à 40 min. et Kaunertal à 1h30 en voiture d’Innsbruck sont deux endroits en montagne où vous pouvez voir des marmottes, des chamois, des bouquetins.
Un menu dans un très bon restaurant tourne plus autour de 50 euros que de 35, en revanche ils ont tous un “business menu” le midi qui oscille autour de 10 euros!
Ariana Afghanisches Restaurant
Andreas-Hofer-Straße 47
Ce fut un coup de coeur, ce restau afghan est un peu à l’écart du centre (pas loin hein) et permet d’éviter toute vibe touristique, il est prisé des locaux, confortable et très bon, vraiment le plan en or de ce séjour de 2023. Moi qui étais barbouillé, le patron m’a suggéré cette soupe de poulet très légère et apaisante qui s’est avérée parfaite. Pas sûr que la photo lui rende hommage, mais c’est comme ça, les plats les meilleurs et les plus “comfy food” ne sont pas toujours des stars d’Instagram.
HaPoel
Leopoldstraße 42
Resto israélien qui avait l’air cool, apparemment il y en a plusieurs en Israël.
Bistro Vinothek Dr. Fischer
Leopoldstraße 35
Je le sentais bien en mode cuisine bistrot classique (avec des plats du jour intéressants), bonne carte de vins et semble-t-il ambiance sympathique, malheureusement il était fermé durant mon séjour.
Restaurant Safran
Karmelitergasse 6b
Je ne sais pas trop quoi penser de ce petit resto iranien, il avait l’air d’un bon plan pas cher près de la gare, avec une cuisine de la maman et une carte très limitée (ambiance riz viande), mais cela demande confirmation, il est en tout cas très bien noté.
Lichtblick : ce restaurant est situé au dernier étage du centre commercial qui jouxte le Penz Hôtel. Il y a un bar très couru pour sa terrasse panoramique, y compris par les étudiants (le lieu est branché mais pas snob) et de l’autre côté de la passerelle se trouve le Lichtblick. Le repas était délicieux, tartare de veau du Tyrol, radicchio de Trévise, jaune d’oeuf cuit, moutarde violette et crème d’estragon en entrée (17,90 euros); puis filet de vivaneau cuit dans un bouillon au chorizo, moules de Buchot, ail noir, croquettes de riz, mousse de tomate (28,80). En dessert j’ai pris cette spécialité du Tyrol revisitée façon gastro : ravioli d’abricot, confiture d’abricot-citron, dulce de leche et riz au lait crémeux. Le menu est à 46 euros, un bémol sur la sélection des vins qui manquait d’offres.
Sitzwohl : ce restaurant est tenu par deux femmes chefs, Elisabeth Geisler et Irmgard Sitzwohl. Le menu du midi était superbe et bon marché pour nous, moins de 15 euros (mais c’est élevé par rapport aux standards autrichiens). J’ai pris ce risotto aux chanterelles à tomber, mention spéciale pour le service jeune et prévenant, efficace.
Quelques autres adresses que je n’ai pas essayées mais qui m’ont été recommandées par des locaux :
Arkaden hof : restau italien chic dans une cour
John Montagu : Sandwiches hipster
Die wilderin : viande locale et ingrédients traditionnels
Oniriq : Resto gastronomique à quasi 200€ le menu
Cafés
Haepinest : café tranquille situé en face du disquaire Nabu
Café Momo
In der Wagnersche Buchhandlung, Museumstraße 4
Café contemporain branché avec une chouette terrasse à l’arrière.
Kaffee Munding : pour un bon chocolat
Coffeekult : celui sur Müllerstraße, petit endroit mais café bon et pas cher
Verenas
Leopoldstraße 26
Café – pâtisserie qui a l’air à la fois tradi dans la déco et contemporain dans la carte, à voir.
Treibhaus : un lieu branché où on peut aussi s’assoir sans consommer, il y a un resto et une salle de concerts. J’ai lu ici et là des avis négatifs sur le service et d’autres très positifs.
manni.coffee
Anichstraße 2
Petit café vite fait
Kater Noster Cafe & Bar
Leopoldstraße 7
A la fois café et bar.
Autres bons plans pour un bon café : Felice très relax avec terrasse dans le quartier de l’université, La Cantina – Intermezzo italiano à la fois café, bar et restaurant.
Café Crema : bon plan proche de la gare, il avait l’air top et puis bien pratique quand tu sors fatigué du train.
Brennpunkt coffee competence : café spacieux et gourmet sous la ligne de chemin de fer
Glaciers
A Innsbruck, tout le monde a une glace à la main (j’exagère à peine).
Gelateria Tomaselli – Baggersee
Archenweg 54
La gelateria Tomaselli sur l’artère piétonne principale envoie du sérieux, j’ai l’impression qu’en 2023, tout le monde va là.
Lago di garda gelateria : Ce sont des italiens sympas et bosseurs, ça dépote.
Le moscatella autrichien est fruité et sec à la différence de l’italien qui est fruité et sucré
Les knödel sont ces raviolis, ou quenelles, pressés au fromage frit et qui baignent dans un bouillon de boeuf, on trouve cela partout, c’est proprement délicieux.
Bars à vins
Malheureusement je n’ai trouvé aucun bar à vin vraiment intéressant à Innsbruck, ni de caviste nature (ou alors j’ai raté mon coup), c’est très étonnant quand on voit la taille de la ville et la somme de vignerons qui tuent dans le pays, d’ailleurs à Vienne ce genre de bars ne manquait pas.
Weinhaus Tyrol
Herzog-Friedrich-Straße 32
C’est là que j’ai été, où j’ai été le plus inspiré, y avait une bonne vibe de l’extérieur, en plus y a une terrasse. La jeune femme était seule pour tout faire, j’ai trouvé ça abusé de la part de ceux qui tiennent le bar dans une rue très passante. Elle s’en tirait très bien, de manière sympa, malheureusement les vins trop tradis ne m’ont pas du tout plu. Je le mets quand même hein parce que dans le genre il est pas mal.
Magazzino
Fallmerayerstraße 10
Dunlin Bar Innsbruck : bar à cocktails
Meraner Str. 6
Sous la ligne de chemin de fer il y a des arches avec de nombreux bars dont le Babalon qu’on ma recommandé, à voir.
Voici 2 bars conseillés par Lukas Funkateer du disquaire Nebu :
Montagu Bed & Beers : c’est un hostel qui a aussi un bar sur le toit terrasse
Höttinger G. 7
Brooks ODB
Museumstraße 1
Die Bäckerei : Concerts, poésie, slam etc…
Pmk bar music : local music scene
Kater Noster : bar couru mais dont la carte semble quelque peu impersonnelle.
Swarovski Kristallwelten store : dans cette vitrine de la marque on trouve les plus beaux modèles ainsi qu’un café et une salle d’exposition au 1er étage. Lorsque j’y étais les créations Gaultier utilisant du cristal Swarovski étaient exposées.
X double skate shop : un skate shop qui propose plusieurs marques autrichiennes dont :
– Fhan wear : 100% organique et répondant aux règles du commerce équitable. Possiblement la meilleure des marques locales dixit le gérant du magasin.
– un.art : designeuse d’Innsbruck, les habits sont 100% faits à la main dans le Tyrol autrichien
– Easygoing longboards : ils utilisent du bois et de la colle d’Autriche
– Hnrx : street artist d’Innsbruck
Walde Kerzen : fabrique familiale et traditionnelle de savons artisanaux, créée en 1777, en face du parc Vogelweide. J’y ai acheté des savons entièrement naturels pour une somme modique, 3, 4 euros.
Disquaires
Nabu Records : un disquaire spécial puisque son propriétaire Lukas Funkateer voyage à travers le monde afin d’en rapporter des pépites. Voici qq-uns de ses mixes.
Downtown sound : ce lieu très cool orienté vinyls est tenu par un anglais qui rapporte pas mal de disques d’Angleterre, il y a aussi une large sélection de disques autrichiens et allemands
Twosides
Anichstraße 29/EG 1
Musikladen record shop : disquaire vinyls généraliste
Markthalle : c’est le grand marché couvert
Hortnagl : c’est à la fois un café et une supérette de qualité dans laquelle on trouve tous les produits autrichiens, dont de la bonne charcuterie
Culinarium : bon caviste pour du vin et du schnaps
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Merci beaucoup. Je prévois un stop à Innsbruck sur mon chemin vers Vienne? Budapest ? et..?? Débuts de recherche seulement mais ce que vous dites sur Innsbruck me confirme que ce sera mon premier stop après Bâle.
Ravi que mon article vous donne envie d’aller à Innsbruck, vous ne serez pas déçue.
Oui tout à fait d’accord avec tout le contenu. J’adore Innsbruck , largement sous cotée par rapport à Vienne et Salzbourg.
C’est vraiment top et très proche du Tyrol, des dolomites et de la Bavière.
Un endroit ultra stratégique à visiter et/ou faire un stop entre deux sites.
Merci pour le partage complet.
Merci Will, ça fait plaisir! Et je suis entièrement d’accord avec ce que tu dis. Je ne me souviens plus, tu habites là-bas?